24 heures sur la planète
Des chercheurs ont analysé l’impact des activités humaines sur la planète sur l’échelle d’une journée.
De la prospective à l’adaptabilité
Orages violents, vagues de chaleur, feux de forêt, pollution atmosphérique… Le Québec a connu un été marqué par des événements climatiques d’envergure. Au cours des prochaines années, ces situations seront de plus en plus fréquentes, nous dit-on. Selon le consortium québécois sur la climatologie Ouranos, des hausses de température importantes sont à prévoir jusqu’à la fin du siècle. Ce contexte fera en sorte que jusqu’à 20 % des habitats forestiers pourraient devenir inadaptés pour certaines espèces d’arbres. Quant aux précipitations, qui ont augmenté en moyenne de 10,5 % durant les dernières décennies, elles seront plus abondantes et extrêmes, faisant grimper la redondance des inondations, qui, à leur tour, auront des répercussions néfastes sur nos infrastructures, sur nos services essentiels, ainsi que sur les habiletés psychosociales de la population. Ce cahier spécial, premier d’une série de deux, dresse un tableau loin d’être exhaustif des défis climatiques actuels et futurs, ainsi que des solutions proposées par des équipes de chercheurs dans toutes les universités de la province, afin d’assurer notre adaptabilité aux indubitables changements.
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Des « détectives » surveillent les phénomènes météorologiques pour mieux participer à trouver des solutions.
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L’Explorateur de trajectoires permet de comparer les chemins possibles vers cet engagement du gouvernement fédéral.
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Amener le Québec à se débarrasser une bonne fois pour toutes de ses énergies fossiles.
Un projet de recherche à l’UQAT vise à mesurer la réserve de carbone des sols selon le type d’aménagement forestier.
Les résultats de recherche sont prometteurs pour le marché des biocarburants et pour l’environnement.
La résilience des forêts passe par une nouvelle approche en aménagement.
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Les éleveurs pourraient réduire leur empreinte environnementale tout en réduisant leurs coûts énergétiques.
De 1990 à 2019, l’empreinte carbone du lait produit au Canada a diminué de 24 % par litre.
L’initiative vise à décarboner les sols en proposant des produits de remplacement non toxiques.