Le Québec perd plus de médecins de famille qu’il en gagne
Pour la première fois, la différence recrues-départs penche du côté négatif dans le réseau public.
Marie-Eve Cousineau a débuté au «Devoir» en février 2020, soit un mois avant le début de la pandémie de COVID-19. Son entrée en poste s'est faite sur les chapeaux de roue. La journaliste généraliste a pour mandat de couvrir les actualités liées à la santé. Diplômée de l'UQAM, elle a travaillé pendant neuf ans à Radio-Canada (radio, télé et Web). Elle a également été pigiste en magazine durant une dizaine d'années, ce qui l'a mené à réaliser plusieurs reportages à l'étranger, notamment en Afrique.
Pour la première fois, la différence recrues-départs penche du côté négatif dans le réseau public.
Le ministre de la Santé attribue la perte de 49 d’entre eux à leur limitation du nombre d’admissions en médecine.
Elle vise les CHSLD publics du Québec ayant connu une éclosion de COVID-19 lors des premières vagues de la pandémie.
Des patients découragés par les longues heures d’attente reviennent chez eux bredouilles, déplorent des médecins.
À deux mois de son ouverture, l’unité des naissances de l’hôpital Notre-Dame cherche encore du personnel.
Le regroupement craint que Québec repousse leur modernisation en raison de celle de Maisonneuve-Rosemont.
Québec lancera la semaine prochaine ses premiers appels d’offres pour le projet, qui aboutira dans 8 à 10 ans.
La Santé publique montréalaise qualifie la situation d’«extrêmement préoccupante».
D’autres infirmières québécoises ont choisi d’aller passer leur test dans une autre province canadienne.
Les entérovirus circulent habituellement à la fin de l’été et au début de l’automne, et peuvent causer la méningite.