Vers un automne chaud ?
Contestation des projets de loi 15 — qui prévoit la centralisation du système de santé — et 23 — qui réorganise de fond en comble le secteur de l’éducation —, négociations au point mort dans le dossier du renouvellement des conventions collectives du secteur public, transition verte nécessaire, mais qui se soucie trop peu des travailleuses et des travailleurs, etc. De l’avis des différentes centrales syndicales, le gouvernement manque d’écoute et leurs membres sont à bout. De quoi entrevoir un automne chaud ? Possible, répondent-elles. À l’occasion de la fête du Travail, lundi, ce dossier leur donne la parole afin de leur permettre de faire connaître leurs préoccupations.
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Des règles existent au sujet des risques thermiques, mais, sur le terrain, les gens sont-ils suffisamment protégés ?
Depuis 2022, les cadres québécois de premier niveau, au public comme au privé, ont le droit de se syndiquer.
Le Front commun se prépare à un automne chaud dans l’espoir que le gouvernement revoie sa copie.
Si aucune entente n’est trouvée entre Québec et la FIQ, l’organisation syndicale est prête à se mettre en grève.
L’APTS demande une amélioration des conditions de travail de ses membres, dont la contribution est souvent méconnue.
Pourtant, au lendemain de la pandémie, la leçon semblait claire : il fallait à l’avenir mieux planifier.
La FTQ sera présente en force à la COP 28 pour défendre les intérêts des chevilles ouvrières du Canada.