L’aérospatiale amorce sa reprise postpandémique
L'industrie souhaite devenir une zone d’innovation pour rester compétitive à l’international et relever des défis.
Une industrie en plein redécollage
Cinq donneurs d’ordres, 15 partenaires de premier rang — équipementiers ou entreprises d’entretien, de réparation ou de révision —, 185 autres fournisseurs, 60 000 travailleurs, dont 43 000 dans le seul secteur de la fabrication : le Québec, et en premier lieu la grande région de Montréal, est le troisième centre aérospatial au monde, derrière Toulouse et Seattle. Or, si la fermeture des espaces aériens durant la pandémie a entraîné une baisse du nombre de commandes et une période plus creuse pour le secteur, tous les voyants sont aujourd’hui de nouveau au vert. Ce cahier s’attache à présenter la grappe aérospatiale montréalaise, tout en s’intéressant aux défis qu’elle a à relever, au premier rang desquels la pénurie de main-d’oeuvre et le nécessaire virage vert que doit prendre l’industrie.
L'industrie souhaite devenir une zone d’innovation pour rester compétitive à l’international et relever des défis.
L’industrie de l’aéronautique travaille à de nouvelles innovations plus écologiques.
Il manque de travailleurs dans tous les métiers de l’industrie aérospatiale, quel que soit le niveau scolaire requis.
Le CRIAQ et ses partenaires misent sur une approche collaborative pour repenser le ciel de demain.