Pour l’immigration au Québec, d’abord la capacité d’accueil, ensuite le débat de chiffres
La priorité est d’avoir plus de ressources pour bien intégrer les immigrants, ont plaidé des organismes en région.
Lisa-Marie Gervais est journaliste au Devoir depuis 2009. Elle a d’abord couvert l’éducation, dont les manifestations du Printemps érable en 2012, et s’occupe maintenant des dossiers touchant l’immigration et la diversité, avec un intérêt marqué pour les affaires internationales. Auparavant journaliste indépendante, elle a réalisé plusieurs reportages à l’étranger, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Polyglotte, elle détient un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et une maîtrise de l’Institut d'études politiques de Paris. Elle siège au comité éditorial du magazine Nouveau Projet depuis sa fondation en 2012.
La priorité est d’avoir plus de ressources pour bien intégrer les immigrants, ont plaidé des organismes en région.
Parminder Singh encaissait des milliers de dollars sans donner suite aux démarches qu’on lui avait confiées.
Leur résidence permanente a été rejetée après un problème de transmission entre les deux ministères de l’Immigration.
Dans une pétition, ils exigent d’être libérés sous conditions pour pouvoir être auprès de leur famille.
Ils sont près de 12 000 «anges gardiens», Ukrainiens ou immigrants pour des raisons humanitaires à attendre.
Plus de 30 000 réfugiés reconnus par Ottawa sont en attente du précieux statut.
L’exploitant de la ferme R. Mailloux et fils écope d’un sursis de peine avec probation d’un an.
Des 30 000 immigrants inscrits à Francisation Québec depuis le 1er juin, à peine 1500 s’apprêtent à commencer des cours.
Québec investit 675 000$ pour bonifier l’offre de services dans quatre régions offrant de la francisation.
Un promoteur loue à bon prix les chambres de l’édifice qu’il vient d’acheter à des étudiants en soins infirmiers.