Rendre la culture accessible à tous
Fondée en 1986 à Laval, la Maison des arts est encore à ce jour le seul établissement professionnel municipal de diffusion de la région. Le lieu abrite également la salle Alfred-Pellan, unique institution muséale en arts visuels agréée sur le territoire lavallois.
La programmation multidisciplinaire pour adultes en arts de la scène se concentre surtout en théâtre de création et en danse contemporaine, explique Nicole Thibault, coordonnatrice des activités et programmes à la Ville de Laval. Parmi les événements à surveiller cet automne : le solo de théâtre Les dix commandements de Dorothy Dix, magnifiquement interprété par Julie Le Breton. Un spectacle d’UBU compagnie de création, en coproduction avec Espace Go et le Théâtre de la Colline à Paris.
En danse, la Maison des arts accueillera par ailleurs les danseurs de la compagnie Tentacle Tribe pour son spectacle Prism, inspiré de la danse contemporaine, des styles de la rue et des arts martiaux.
Située au sein de la Maison des arts, la salle Alfred- Pellan se veut un espace de dialogue qui possède une double mission. « L’établissement soutient d’une part les artistes et les commissaires en vue de produire des expositions. Il accompagne d’autre part les visiteurs au moyen d’un vaste programme de médiation et d’éducation », explique Jasmine Colizza, régisseuse aux arts visuels pour la Ville de Laval et la salle Alfred-Pellan.
Le musée s’inscrit au cœur des valeurs de la Ville de Laval avec comme mission de rendre l’art accessible au grand public en misant sur la gratuité de ses expositions et sur une programmation d’activités artistiques. Ainsi, il compte parmi sa clientèle des amateurs d’œuvres contemporaines, des familles, des groupes, des écoles de la prématernelle à l’université. La salle accueille aussi des organismes communautaires, des jeunes atteints du trouble du spectre de l’autisme et des personnes en francisation. « On adapte toujours notre approche selon les gens que l’on reçoit », mentionne Mme Colizza.
La prochaine saison prévoit surtout des événements en hommage à plusieurs artistes, résume la régisseuse. Ainsi, Libérez la peinture ! souligne le travail du Lavallois Marcel Saint-Pierre, décédé en 2021. « C’était un artiste au rayonnement international. Il était auteur, poète, professeur à l’UQAM et très engagé socialement », soulève Mme Colizza. L’exposition met en lumière ses 15 premières années de pratique, époque durant laquelle M. Saint-Pierre a créé des œuvres sans support, en laissant sécher l’acrylique sans toile pour la soutenir.
La programmation séduit tantôt un public averti, tantôt les familles. Un volet complet d’événements est d’ailleurs destiné au jeune public, avec 13 spectacles pour la prochaine saison.
La salle propose également un nombre grandissant de résidences de création pour les artistes. « Ça nous arrive de soutenir des compagnies et d’accueillir leur œuvre finale », indique Mme Thibault.
L’établissement a récemment reçu l’accréditation Scène écoresponsable de niveau Argent. « Il y a des boîtes de recyclage et de compostage partout. On essaie d’éliminer le plus possible les bouteilles de plastique et les produits à usage unique et de diminuer nos outils papier. », illustre Mme Thibault.
Facebook: https://www.facebook.com/maisondesartsdelaval
Instagram: https://www.instagram.com/maisondesartsdelaval
La programmation multidisciplinaire pour adultes en arts de la scène se concentre surtout en théâtre de création et en danse contemporaine, explique Nicole Thibault, coordonnatrice des activités et programmes à la Ville de Laval. Parmi les événements à surveiller cet automne : le solo de théâtre Les dix commandements de Dorothy Dix, magnifiquement interprété par Julie Le Breton. Un spectacle d’UBU compagnie de création, en coproduction avec Espace Go et le Théâtre de la Colline à Paris.
En danse, la Maison des arts accueillera par ailleurs les danseurs de la compagnie Tentacle Tribe pour son spectacle Prism, inspiré de la danse contemporaine, des styles de la rue et des arts martiaux.
Photo: Elias Jemil-Matassov
La Maison des arts accueillera les danseurs de la compagnie Tentacle Tribe pour son spectacle Prism.
Mentionnons également l’accueil de la conteuse belge Anne Borlée en formule cabaret avec Celles qui veillent, un conte inspiré d’un procès de sept femmes exécutées pour sorcelleries dans son pays natal au XVIIe siècle. Si la Maison des arts présente généralement des arts du cirque pour le jeune public, elle propose cette saison un spectacle pour toute la famille! Robot infidèle de la compagnie Machine de Cirque de Québec est tout public à partir de 7 ans !Des hommages à différents artistes
De moyenne dimension (335 places), le théâtre des Muses de la MDA offre une proximité exceptionnelle avec les artistes sur scène. « Il faut venir voir chez nous Rhapsodie de Sylvain Émard Danse, alors que 20 danseurs évolueront sur scène ! Ce sera tout simplement jubilatoire ! » s’emballe Mme Thibault.Située au sein de la Maison des arts, la salle Alfred- Pellan se veut un espace de dialogue qui possède une double mission. « L’établissement soutient d’une part les artistes et les commissaires en vue de produire des expositions. Il accompagne d’autre part les visiteurs au moyen d’un vaste programme de médiation et d’éducation », explique Jasmine Colizza, régisseuse aux arts visuels pour la Ville de Laval et la salle Alfred-Pellan.
Marcel Saint-Pierre devant une de ses toiles libres en 1978.
La prochaine saison prévoit surtout des événements en hommage à plusieurs artistes, résume la régisseuse. Ainsi, Libérez la peinture ! souligne le travail du Lavallois Marcel Saint-Pierre, décédé en 2021. « C’était un artiste au rayonnement international. Il était auteur, poète, professeur à l’UQAM et très engagé socialement », soulève Mme Colizza. L’exposition met en lumière ses 15 premières années de pratique, époque durant laquelle M. Saint-Pierre a créé des œuvres sans support, en laissant sécher l’acrylique sans toile pour la soutenir.
Un public varié
Située à deux pas de la station de métro Montmorency, la Maison des arts attire « de plus en plus » de Montréalais parmi son public. « On a beau être à Laval, c’est souvent plus rapide de venir voir un spectacle chez nous que d’aller au centre-ville de Montréal, même en partant de la métropole », observe Mme Thibault.La programmation séduit tantôt un public averti, tantôt les familles. Un volet complet d’événements est d’ailleurs destiné au jeune public, avec 13 spectacles pour la prochaine saison.
La salle propose également un nombre grandissant de résidences de création pour les artistes. « Ça nous arrive de soutenir des compagnies et d’accueillir leur œuvre finale », indique Mme Thibault.
L’établissement a récemment reçu l’accréditation Scène écoresponsable de niveau Argent. « Il y a des boîtes de recyclage et de compostage partout. On essaie d’éliminer le plus possible les bouteilles de plastique et les produits à usage unique et de diminuer nos outils papier. », illustre Mme Thibault.
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