La Fed garde ses taux stables, mais anticipe une nouvelle hausse
Ils devraient ensuite baisser moins vite que prévu initialement par la banque centrale américaine.
Ils devraient ensuite baisser moins vite que prévu initialement par la banque centrale américaine.
Chronique La hausse des taux d’intérêt n’augure rien de bon pour Justin Trudeau.
La création d’emplois en juillet n’a pas freiné la hausse des salaires, pourtant nécessaire à une baisse de l’inflation.
Le PIB a crû de 2,4%, alors que les analystes s’attendaient plutôt à un ralentissement ou, au mieux, à une stagnation.
Il s’agit de la 11e hausse décrétée par la banque centrale américaine depuis mars 2022.
Le principal taux directeur, à zéro durant la pandémie, est désormais compris dans une fourchette entre 5,00 à 5,25%.
Elle s’est établie à 3 % sur un an, contre 4 % en mai. C’est son niveau le plus bas depuis mars 2021.
«Une erreur de perception et une mauvaise compréhension des causes profondes» de ces faillites.
En maintenant ses taux, la banque centrale veut prendre le temps d’observer l’évolution de l’économie.