Fondé en 1854, le Parti conservateur du Canada (PCC) est le premier parti de l’histoire politique canadienne et occupe depuis le pouvoir en alternance avec le Parti libéral du Canada.
Avec la fusion de 2003 entre l’Alliance canadienne et le Parti progressiste-conservateur, le PCC souhaite incarner la réunification des idéologies de droite afin de ne pas diviser le vote.
En février 2022, au terme d’une réunion de caucus de quatre heures, près de 62 % des députés conservateurs ont voté pour limoger le chef Erin O’Toole (à la tête du parti depuis 2020), avant de choisir d’élire sa cheffe adjointe, Candice Bergen, comme cheffe intérimaire du parti. Une course à la chefferie est lancée, opposant principalement Jean Charest et Pierre Poilievre. Ce dernier remporte une victoire écrasante en septembre 2022 avec 68 % des points dès le premier tour, très loin devant son principal adversaire.
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Ils ont pour consigne de ne pas commenter, sur les réseaux sociaux ou dans les médias, les manifestations concurrentes.
Le chef conservateur a utilisé le système de communication de l’appareil, habituellement réservé aux agents de bord.
Éditorial Les militants du PCC s’obstinent à emprunter les voies sinueuses du conservatisme social.
Le député de Richmond–Arthabaska avait claqué la porte du Parti conservateur après l’arrivée de Pierre Poilievre.
Les délégués conservateurs réunis à Québec ont accepté toutes les politiques qui leur étaient soumises, sauf une.
Lettres À lire parmi notre sélection quotidienne de lettres rédigées par nos lecteurs.
Chronique Les votes conservateurs au Québec ont la fâcheuse tendance à ne pas se transformer en sièges.
Le chef conservateur a aussi dit qu’il entend parler à ses enfants en français, lors d’un important discours à Québec.
Les membres du parti, réunis en congrès, ont aussi laissé tomber l’idée de définancer Radio-Canada.
De son côté, la nouvelle ministre du Tourisme s’est dite préoccupée par «la radicalisation» du Parti conservateur.