Le gouvernement Trudeau cible le mauvais adversaire
Éditorial Il devrait se préoccuper de l’ingérence de l’Inde plutôt que de l’assurance médicaments du Québec.
Éditorial Il devrait se préoccuper de l’ingérence de l’Inde plutôt que de l’assurance médicaments du Québec.
Un projet de loi prévoit des amendes voire des peines de prison pour messages jugés «nuisibles à l’esprit du peuple».
Le mois dernier, le ministre chinois de la Défense s’est rendu en Russie, appelant à une coopération militaire étroite.
Le chef de l’Organisation mondiale de la santé affirme que «toutes les hypothèses restent sur la table».
Le député conservateur canadien a plaidé pour la dénonciation transparente de l’ingérence étrangère de la Chine.
Le député conservateur avait été la cible d’une campagne d’ingérence étrangère présumée de la part de la Chine.
Le président américain s’est défendu de vouloir «isoler» la Chine, égratignant au passage la grande puissance rivale.
De profonds désaccords sur des sujets comme l’Ukraine et le climat rendront difficile une déclaration finale dimanche.
Le premier ministre canadien assure qu’il témoignerait «avec beaucoup d’enthousiasme» devant la juge Hogue.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, la v.-p. américaine Kamala Harris et le PM chinois Li Qiang y assistent.