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Chronique De la légèreté de la tchatche.
ChatGPT
Photo Richard Drew Associated Press
La mise en ligne, en décembre 2022, de ChatGPT a fait l’effet d’une petite révolution dans le monde de l’intelligence artificielle. Grâce à cette application, il est possible de produire des textes détaillés en réponse à des questions précises. En effet, ce modèle de traitement du langage, créé par la firme de recherche OpenAI, utilise la technologie de compréhension du langage humain la plus récente pour comprendre le sens des mots et des phrases et générer des réponses en fonction du contexte.
Un potentiel qui en inquiète plusieurs et qui entraîne de nombreuses questions. Est-ce la fin des travaux de fin de session? L’apparente véracité des propos de ChatGPT mènera-t-elle à la désinformation? Est-ce que ChatGPT est le prochain Google?
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Les risques catastrophiques de l’intelligence artificielle, ou la stratégie de l’épouvantail
Idées Ces discours ne cherchent-ils pas à pérenniser le développement de l’IA et fabriquer le consentement du public.
| Jonathan Martineau et Jonathan Durand Folco
| Idées
Pour utiliser l’IA en classe, l’UNESCO recommande une limite d’âge
Les autorités publiques ne sont pas prêtes à gérer les problèmes éthiques liés à cette intégration, estime-t-elle.
Face à l’aspirateur de données d’OpenAI, les médias se rebiffent
Au moins 1000 sites, parmi lesquels Amazon et CNN, ont barré la route à GPTBot.
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Une poignée d’entre eux commence à se doter de règles sur la façon d’intégrer des outils technologiques comme «ChatGPT».
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Briser les codes du regard dominant
L’expérience numérique et interactive du Centre Phi interroge l’interconnexion entre les sexualités et les technologies.
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L'intelligence artificielle et son chômage technologique
Chronique L’accroissement de la productivité et l’augmentation de la prospérité vont-ils de pair?
![«Je pense que nous allons résoudre le problème des hallucinations […] dans un an et demi, deux ans», prédisait récemment Sam Altman, p.-d.g. d’OpenAI, qui commercialise des produits ChatGPT pour une variété d’utilisations.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1516747_1174082/image.jpg)
Pourra-t-on soigner les «hallucinations» des robots conversationnels?
Les sociétés derrière ces produits d’IA assurent travailler à les rendre plus fiables.
Faits alternatifs
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Les géants américains de l’IA s’allient pour s’autoréguler
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