En Chine, des disparitions de hauts responsables intriguent
Un haut diplomate et un ministre de la Défense ont disparu de l’œil du public.
L’ex-dirigeante civile de 78 ans voit sa peine réduite de 33 à 27 ans de prison à l’issue d’une grâce collective.
Le chef de la junte a évoqué des attaques en cours un peu partout au pays. L’état d’urgence devait expirer lundi.
Le groupe armé État islamique a revendiqué l’attaque. Le gouvernement pakistanais doit être dissous d’ici peu.
Cet attentat coïncide avec la visite d’une délégation de responsables chinois arrivée dimanche soir dans la capitale.
Le leader nord-coréen a accompagné Sergueï Choïgou à une vaste exposition présentant ces armes, selon les médias d’État.
Sergueï Choïgou était en Corée du Nord à l’occasion de l’anniversaire de la fin des combats entre les deux Corées.
Le scrutin de dimanche aura servi à préparer le terrain pour Hun Manet, dans une succession à la nord-coréenne.
Des syndicats ont lancé une grève générale pour protester contre cette loi qui limite les pouvoirs de la Cour suprême.
Il était inexplicablement absent depuis un mois. Les autorités chinoises n’ont pas justifié leur décision.
Cette opération a pour but d’éviter une marée noire en mer Rouge.
La Maison Blanche a condamné ces «tirs de missiles balistiques» qui surviennent après d’autres essais militaires samedi.
Travis King serait détenu en Corée du Nord après y être entré illégalement le 18 juillet dernier.
Le premier ministre Hun Sen, qui dirige le pays d’une main de fer depuis 38 ans, devrait passer la main à son fils aîné.
Le réformiste Pita a été empêché de se présenter une deuxième fois au poste de premier ministre.
L’homme, depuis placé en état d’arrestation, a profité d’une visite dans la zone démilitarisée pour s’enfuir.
Inondations et glissements de terrain ont été causés par de fortes pluies, en pleine mousson d’été.
Près de 100 000 personnes risquent leur vie pour y ramasser du charbon.
L’adoption de cette nouvelle loi au Parlement se fait en plein virage ultraconservateur au pays.
Les sénateurs fidèles à l’armée rejettent la candidature jugée trop radicale du vainqueur des législatives.
Notre journaliste a sillonné ce pays atypique pour témoigner des mutations politiques et sociales en cours.