«On s’en rapproche», a affirmé le prince héritier saoudien concernant une normalisation des relations entre les pays.
Éditorial Un an après la mort brutale de Mahsa Amini, le régime des mollahs tient le coup pour le plus grand drame des femmes.
Cette politique commune est destinée à «soutenir la stabilité et l’équilibre des marchés pétroliers».
Les perspectives de paix dans le pays restent encore très incertaines.
La pétrolière agirait de manière contraire «aux objectifs, aux obligations et aux engagements de l’Accord de Paris».
L’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis se joignent au groupe.
C’est du moins ce qu’allègue Human Rights Watch dans un rapport publié lundi. Riyad nie tout.
En mars, Ryad et Téhéran ont annoncé le rétablissement de leurs relations diplomatiques.
L’Arabie saoudite a accueilli samedi une réunion sur l’Ukraine qui s’est tenue sans Moscou.
La Russie n’assistera pas à la réunion qui se tiendra à Jeddah, ayant déjà évité un forum similaire le mois dernier.