L’espace, figure-clé du cinéma
Selon Pierre Corriveau, cinéastes et architectes transforment d’abord les lieux par leur seul regard.
André Lavoie est critique pigiste en cinéma au Devoir depuis 1998. Détenteur d’une maîtrise en études cinématographiques de l’Université de Montréal, il collabore aussi à différents magazines comme Sélection du Reader’s Digest, ainsi qu’à diverses émissions de Radio-Canada, dont Aujourd’hui l’histoire. Deux fois lauréat aux Grands Prix du journalisme indépendant, pour la meilleure critique culturelle et pour le meilleur texte d’opinion, il est également conférencier sur le cinéma et le journalisme, et animateur de débats avec des cinéastes et des experts lors de projections de films dans différents lieux culturels.
Selon Pierre Corriveau, cinéastes et architectes transforment d’abord les lieux par leur seul regard.
Technologies et pédagogie font-elles toujours bon ménage ? Et si tout était une question de dosage ?
À la croisée des langues, des cultures et des religions, l’écrivain a fait de ce mélange son unicité.
Ce film de 1986 n’était pas le premier constat cynique de Denys Arcand, mais il demeure son plus célèbre.
Entre la Grèce antique et le Montréal d’aujourd’hui, une même héroïne en quête de justice et d’absolu.
Chaque fois sous les traits de Roy Dupuis, un condamné à mort différent traverse un sombre corridor.
Tout vient à point à qui sait attendre, surtout quand on s’appelle José Saramago, le serrurier devenu auteur nobélisé.
Dans «La bête lumineuse», qui part à la chasse perd surtout son innocence, démontre avec force Pierre Perrault.
Véritable buffet d’idées, le documentaire «République. Un abécédaire populaire» dresse la table pour un Québec nouveau.
Près de 50 ans après sa sortie, le film «Les ordres» n’a rien perdu de sa pertinence politique et de son humanisme.