Une structure en bois vieille d’un demi-million d’années découverte en Afrique
Très bien préservée, la structure a été découverte sur le site des chutes de Kalambo, dans l’actuelle Zambie.
Une «possible» mission diplomatique pourrait se rendre samedi à Niamey
La CEDEAO doit se réunir jeudi pour définir les modalités d’une possible intervention armée dans le pays.
Le régime militaire au pouvoir à Niamey estime que le pays est capable de «surmonter» les sanctions.
C’est ce qu’a rapporté dimanche le chef d’une délégation de religieux nigérians, au lendemain de sa visite à Niamey.
Une médiation de chefs religieux nigérians a aussi rencontré samedi des membres du régime militaire.
Après avoir déployé sa « force en attente », la CEDEAO reporte sa prochaine réunion, prévue samedi.
Plus tôt jeudi, la junte militaire nigérienne issue du coup d’État a annoncé avoir formé un gouvernement.
Les putschistes ont refusé d’accueillir une délégation de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest.
Le président Mohamed Bazoum, renversé le 26 juillet, est retenu prisonnier depuis.
L’opposition l’accuse de vouloir rester «président à vie», après cette approbation par un référendum sans surprise.
La CEDEAO demande aux militaires de rétablir dans ses fonctions le président renversé, sous peine d’utiliser la force.
Certains participants, tels le Québec, avaient décidé de ne pas concourir ou ont réduit la taille de leurs délégations.
Les affrontements entre l’armée et des combattants de la milice nationaliste amhara Fano n’ont cessé de s’aggraver.
La Russie a appelé au «dialogue» pour éviter une «dégradation de la situation».
Les États-Unis n’ont pris aucune décision pour le moment.
L’ex-puissance coloniale apparaît comme la cible privilégiée des putschistes.
Le bloc ouest-africain, l’Union africaine et les pays occidentaux ne reconnaissent pas les «autorités» issues du putsch.
Après le Mali et le Burkina Faso, le Niger devient le troisième pays du Sahel à connaître un coup d’État depuis 2020.
Cette annonce intervient après des semaines de manifestations et de violences politiques au pays.
Après un coup d’État, il s’est déclaré «président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie».