Wes Anderson, en stars et en kitsch à Cannes
Le coloré, pop et biscornu cinéaste tente de se faufiler au palmarès avec «Asteroid City» et sa distribution 36 étoiles.
Odile Tremblay est devenue journaliste culturelle au Devoir en 1990 après une formation en ethnologie à l’Université Laval et après s’être investie auprès des autochtones au Centre Attikamek-Montagnais. Elle a été responsable du cinéma de 1990 à 2017 et directrice littéraire de 1992 à 1993. Attachée à la couverture de grands festivals de films, elle signe une chronique culturelle depuis 1995, devenue bihebdomadaire en 2015. Elle a remporté le prix Jules-Fournier en 1994 et le prix Judith-Jasmin (Opinion) en 2005.
Le coloré, pop et biscornu cinéaste tente de se faufiler au palmarès avec «Asteroid City» et sa distribution 36 étoiles.
Chronique Sandra Hüller, actrice de la cuvée et manifestants «non grata».
La cinéaste française n’avait jamais réalisé une oeuvre aussi forte et haletante qu’«Anatomie d’une chute».
« Les Feuilles mortes » d’Aki Kaurismäki, comédie mélancolique hommage à Jacques Prévert et Charlie Chaplin.
Chronique Le film favori. Trop de strass.
On retrouve notamment le duel de Julianne Moore et Natalie Portman dans le film de Todd Haynes.
Des stars et des hommes.
Chronique Le respect de Scorsese et Thierry Frémaux sur son vélo.
En compétition, le IIIe Reich tenait la vedette dans une autre oeuvre, plus grave et puissante.
Robert de Niro à son meilleur